Desperate Mamies

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Deux « Desperate Mamies » prêtes à tout pour s’évader de leur maison de retraite! A la suite d’un incroyable gain au loto, Yolande, 80 ans, annonce à sa fille qu’elle va tout donner à la Croix Rouge. C’est alors qu’elle se retrouve bizarrement « incarcérée » dans une maison de retraite, enfermée dans la chambre haute sécurité surnommée « Alcatraz ». Entraînée par sa complice Frieda, elle prépare minutieusement son évasion…

 Avec comme comédien Gilles Bellomi connu pour ses personnages de composition au travers de programmes récompensés par des 7 d’or tels « Rince ta baignoire » ou « La planète des Donkey Kong ». Il est partenaire d’Annie Duperey, Guy Bedos, Eric Metayer… Il joue au cinéma dans plusieurs long-métrages tels que « From Paris with love », « Un prophète », « Comme les cinq doigts de la main », « La proie », et incarne l’un des personnages principaux de « La Planque », actuellement à l'affiche.

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Auteur, metteur en scène, Fred Vastair est aussi comédien, il a joué dans plusieurs comédies à grand succès, notamment « Tout bascule » (à la Grande Comédie) et « Presse pipole » (tournée en France, Belgique et Suisse), deux pièces écrites par Olivier Lejeune.

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Billetreduc.com

« Spectacle trop drôle, explosif ! Un excellent moment, on a rit du début à la fin (…) » « Un sujet d'actualité traité de manière drôle et décalée! Merci à l'équipe pleine d'énergie! » «Comédie hilarante, abordant des thèmes actuels avec humour. Complicité entre le public et les acteurs » « Spectacle haut en couleur, mené bon train par des acteurs virevoltants qui ont pris les spectateurs en otages pour un moment de pur délire... A voir absolument.... »

L’Echo républicain

"Hier on a de nouveau refusé du monde au Dianetum (…) avec une comédie aux dialogues jubilatoires (…). Une pièce de Fred Vastair assez désopilante, à l’intrigue originale. (…) Les spectateurs ont beaucoup ri en écoutant les répliques décapantes des 2 mamies déchaînées." 


 
La République du Centre

"Un spectacle à mourir de rire. (…) A été mis à mal les zygomatiques des spectateurs. (…) Le verbe est truculent. Les répliques fusent. Les spectateurs ont à peine le temps de se remettre d’un fou rire qu’arrive le suivant. C’est dire s’il y a du rythme. Au-delà de l’ironie et de la dérision, l’auteur fait aussi preuve de tendresse envers les pensionnaires des maisons de retraite (…). "